Guide des bonnes pratiques LMP LMNP - ANACOFI

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Guide des bonnes pratiques LMP LMNP - ANCOFI

L'ANACOFI a publié un rapport étayé sur les investissements en LMP / LMNP dans le cadre d'une Commission ouverte à tous types d’experts, dédiée aux problématiques spécifiques liées aux opérations réalisées dans le cadre du régime fiscal de la «location meublée » (statut LMNP/LMP ou dispositif Censi Bouvard) ainsi qu’au suivi de la « crise de marché » constatée sur ce segment d’activité.

Téléchargez ici le rapport public

1862 s'installe dans 230 m² en bas des Champs Elysées !

Photo by AdrianHancu/iStock / Getty Images
Photo by AdrianHancu/iStock / Getty Images

Ces magnifiques bureaux situés au 24, rue de Penthièvre (75008) à Paris comptent 230 m² et 4,5 mètres de hauteur sous plafond. Le plan de cet ancien appartement de prestige entièrement réhabilité est en étoile ce qui permet d'optimiser l'espace et la circulation. Un bien d'exception trouvé après plus de 50 visites. La perle !

A suivre, des photos bien sûr et surtout une pendaison de crémaillère en septembre 2016 en cours d'organisation !

LE CABINET D’AVOCATS 1862 OUVRE LE PREMIER PÔLE DE MEDIATEURS PROFESSIONNELS

COMMUNIQUE DE PRESSE

Paris le 4 mai 2016

Photo by Digital Vision./DigitalVision / Getty Images
Photo by Digital Vision./DigitalVision / Getty Images

 

La médiation permet de résoudre plus de 80% des litiges dans les deux mois pour un coût moyen quatre fois inférieur à celui d’une procédure judiciaire. Conséquence, aux Etats-Unis, en Angleterre ou encore dans les pays scandinaves, c’est la première méthode employée par les entreprises pour résoudre leurs litiges avec leurs salariés, leurs clients ou leurs partenaires.

La France était loin derrière mais elle rattrape rapidement son retard depuis l’entrée en vigueur du décret n°2015-282 du 11 mars 2015 qui rend obligatoire la recherche d’une solution amiable avant tout contentieux.

Pour pallier à la demande, le cabinet d’avocats d’affaire 1862 a créé le premier cabinet de médiateurs professionnels qui est adossé au cabinet d’avocats d’affaires et qui réunit des experts de la résolution amiable. Résultat, 82% de litiges résolus dans les deux mois pour un coût moyen de 1.500 € HT par partie au lieu de 10.000 euros HT pour un contentieux judiciaire.

« Nous avons fait ce qu’il faut pour recruter la haute couture des médiateurs français et pouvoir ainsi proposer une solution efficace et économique à ceux qui ne veulent plus dépenser des sommes faramineuses dans des contentieux qui durent des années avec un résultat parfaitement incertain. » commente Maître David Sabatier, associé gérant du cabinet.

 

Remboursement de la CSG-CRDS pour tous les non résidents

Depuis 2012 les non résidents devaient s'acquitter de la CSG et de la CRDS sur leur revenus français. Depuis la décision de la CJUE du 26 février 2015, le cabinet Sabatier demande pour le compte de ses clients le remboursement des sommes ainsi versées sur la période de prescription applicable.

L'assujettissement des non-résidents aux prélèvements sociaux sur leurs revenus du patrimoine

Depuis la loi de finances rectificative pour 2012 (n°2012-958) les revenus fonciers ainsi que les plus-values immobilières de source française réalisés par des non-résidents sont soumis aux prélèvements sociaux (CSG, CRDS, et contribution sociale) au taux global de 15,5%.

De nombreuses voix se sont élevées contre l’assujettissement de non-résidents aux prélèvements sociaux français dès lors qu’ils ne sont pas (plus) affiliés au régime de sécurité sociale française obligatoire.

Un arrêt du 26 février 2015 de la Cour de Justice de l’Union Européenne est venu consacrer cette interprétation.

La Cour a jugé que les prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine immobilier ne sont pas des impôts (interprétation qui aurait permis l’imposition des non-résidents) mais bien des cotisations sociales associées au financement de la sécurité sociale française.

En conséquence, tout ressortissant européen, non affilié à un régime obligatoire de sécurité sociale française, n’a pas à supporter les prélèvements sociaux français. Il s’agit donc des ressortissants européens résidant fiscalement en France affiliés au régime de sécurité sociale de leur pays d’origine, mais aussi, par extension aux personnes de nationalité française, fiscalement domiciliées hors de France qui ne sont plus affiliés à un régime obligatoire de sécurité sociale française.

Dans l’attente d’une modification législative prochaine, les assujettissements des non-résidents aux prélèvements sociaux peuvent être contestés.

Les non-résidents ayant perçu des revenus fonciers ou plus-values immobilières en France peuvent demander le remboursement des prélèvements sociaux français payés au titre de l’année en cours (2015) et des deux années précédents (2013 et 2014) par voie de réclamation auprès de l’administration fiscale française.

 

Solution quand les parties communes sont détenues par l'exploitant en résidence de tourisme

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La Loi Alur du 1er juillet 2014 règle le problème des locaux de service (appelés parties communes) dans le cas de la location meublée en résidence de tourisme (article D 321-1 du Code du tourisme).

Pour les locaux construits après la Loi, ni un copropriétaire ni donc l’exploitant, ne peut détenir ce « parties communes ». C’est tout simplement interdit et cela met donc fin au montage abusif par lequel l’exploitant s’enchaîne à la résidence en détenant les parties communes.  

Plus loin, pour les locaux construits avant la loi, la Loi prévoit un mécanisme très efficace pour couvrir le cas des parties communes détenues par l’exploitant :

Lorsque ces locaux ne sont pas entretenus, entraînant un déclassement de la résidence ou l'impossibilité de la commercialiser l'assemblée générale peut saisir le tribunal de grande instance d'une demande aux fins de voir prononcer un état de carence ou de constater abandon.

En état de carence, l’entretien est confié au syndicat des copropriétaires aux frais de l’exploitant.

En cas de défaillance avérée de l’exploitant, il convient de demander l'abandon des parties communes détenues par l’exploitant au profit des propriétaires, après le paiement d'une indemnité déterminée par le juge.